A t’on les élus qu’on mérite dans notre misérable département des Pyrénées Orientales ?
Pour réponde à cette délicate question il suffit de lire un extrait du Procés Verbal de la réunion du 9 février 2016 de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale. A la fin de la lecture et des quelques annotations qui ont ajouté Les Bourricots, vous serez parfaitement à même de vous faire une opinion.
Le sujet qui est retenu pour imager la question est la demande de la Communauté de Communes de Salanque Méditerranée, Présidée par l’incomparable Joseph PUIG le Maire Promoteur Lotisseur de Claira Bis, qui demande a ladite commission d’accepter sa fusion avec la Communauté de Communes des Corbières Audoises.
Admirez les échanges et les raisons qui ont prévalu au vote qui vous stupéfiera.
Tout d’abord la carte qui vous fera apparaître teinté en Vert le territoire qu’ambitionne, par pure Cohérence de « Bassin de Vie » (comme dit si bien l’incomparable Sénatrice Hermeline Malherbe) de Présider Le Baron et Maire lotisseur de Claira Joseph PUIG
Ensuite puisque la ‘carte vous a mis en appétit l’extrait du PV de réunion du 9/02/2016 de la Commission Départementale de Coopération Départementale ..
Voila qui va permettre aux habitants du Département de juger la qualité de leurs élus, et tout particulièrement aux électeurs des villages de Pia de Claira et de Salses le Château de constater qu’ils sont dans le même « Bassin de Vie » que les hautes Corbières Audoises, et pas du « Bassin de Vie » des communes voisines de Perpignan, Saint Hippolyte, Saint Laurent de la Salanque, ou Rivesaltes. Le « Bassin de vie » est une notion très floue apparemment et elle cache sans doute autre chose qu’un bassin…
A vous d’imaginer quels sont les intérêts particuliers cachés de ce « Bassin de Vie »..
En ce qui nous concerne notre opinion est faite : On est vraiment « CONS » dans ce Département !
Les Bourricots qui ont déjà plusieurs fois critiqué ce genre de comportement d’élus, vous mettent ci dessous le lien pour vous permettre de relire l’article du 9 janvier 2016